ch'nous & ch'vous

Jeunesse


comme promis

voici  la deuxieme partie en version Marcel

 

2ere  partie

 

La suite changement après quelques jours de classe de 6°,il y avait un prof d’anglais Mr Bonvalot que j’ai retrouvé beaucoup plus tard car celui-ci fit partie de la famille à mon beu-frère ensuite  crochet chez le père (de famille et non religieux) Martin ou nous avons du retrouver le fils plus tard comme prof aussi il avait un air de famille

L’année suivante je du être balader entre diverses classes et le samedi heures de colle ou l’on passait notre temps à remplir des doubles pages.

             Ensuite viens l’année transitoire du certificat d’études primaires (indispensable pour la suite, surtout quand on voit ce que c’est devenu aujourd’hui, sourions à plein poumon) et la préparation à la 4eme début de la technique et de notre épopée ensemble avec le frère Jean dit « Janus Â» (car il faut le savoir dans ce temps, tous les frères avaient un surnom) et les profs atelier Mrs Weber, Guyot, Le folle (je crois mécanique auto) je dois oublier aussi le magasinier et le prof de tournage (ma mémoire fait faillite et la votre ?)Le grand chef d’atelier Antoine, le frère……. (encore cette mémoire) tout ce petit monde va nous accompagner une longue partie de nos trois années de technique ainsi que les profs de matière générale

Listons ensemble (il se peut qu’il y en eu plusieurs ?)

Français

Math

Dessin indust.

Technologie

Sport

Il doit en manquer je ne sais plus....?

 


26/11/2009
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Souvenir de.......

Extrait d`un couriel reçu

Juin 68 ? ooooh que c'est loin !……On était jeune………On avait « 20 ans  
»…..On était dans la panique de « mai 68 » qui avait commencé en  
septembre 67. Et comme je te l'ai dit par téléphone, je fais partie  
des 70 % de sortant qui n'ont pas eu leur diplôme cette année-là car  
c'est en fin de cette même année scolaire que j'ai manqué de  
tact………..car tu te souviendras peut- être que les professeurs  
d'atelier étaient presque tous les jours en état alcoolémie assez  
prononcé, et que celui qui venait de Gémeaux, un village à quelques  
kilomètres du mien, était cuité tous les jours. Il dormait sur une  
table en bois, vers les fraiseuses, à côté du laboratoire d'essais.  
Il faut dire que les vieux profs d'ateliers étaient des anciens  
cheminots qui avaient enduré la deuxième guerre mondiale, ça les  
excuse presque, car ils ont vécu des horreurs, et que leurs pensions  
de retraites n'étaient pas élevées. Le salaire qu'ils recevaient de  
l'école leur permettait de s'en sortir sans trop demander de l'aide à  
leurs enfants........................................

avec autorisation de l`auteur


05/11/2009
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